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Google va commencer à payer les éditeurs d'actualités français pour leur contenu avec un nouvel accord sur les droits d'auteur

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Google France aujourd'hui est parvenu à un accord de partage des revenus(via CNBC) avec l'Alliance française de la Presse d'Information Générale, une organisation représentant les éditeurs de presse en France. Les deux groupes ont maintenant convenu d'un processus pour payer les éditeurs de nouvelles sur des critères variés, y compris «le volume quotidien de publications ou l'audience mensuelle d'Internet».

Pierre Louette, PDG du Groupe Les Echos - Le Parisien et, Président de l'Alliance de la Presse d'Information Générale, a déclaré dans un communiqué:

Après de longs mois de négociations, cet accord est une étape importante, qui marque la reconnaissance effective de la droit voisin des éditeurs de presse et le début de leur rémunération par les plateformes numériques pour l'utilisation de leur publications.

Sébastien Missoffe, directeur général de Google France a ajouté:

Cet accord est une étape majeure pour Google. Il confirme notre engagement auprès des éditeurs de presse dans le cadre de la loi française sur les droits voisins. Cela ouvre de nouvelles perspectives à nos partenaires, et nous sommes heureux de contribuer à leur développement à l'ère du numérique et de soutenir le journalisme.

L'accord fournit également un cadre que Google pourra utiliser lors de la négociation d'accords avec les éditeurs pour leur participation à News Showcase. Vitrine de nouvelles a été annoncé l'année dernière par Google comme un moyen de redonner à l'industrie de l'information (et aussi en réponse aux décisions par des organismes australiens et européens exigeant qu'ils rémunèrent les éditeurs de nouvelles pour le contenu qu'ils ont republié.)

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La société avait mis de côté 1 milliard de dollars pour des partenariats de nouvelles au Brésil, en Australie et en Allemagne, entre autres, mais elle avait toujours prévu d'étendre ce montant à plus de pays que la liste initiale.

Sundar Pichai de Google a déclaré à l'époque:

Aux côtés d'autres entreprises, gouvernements et sociétés civiques, nous voulons jouer notre rôle en aidant le journalisme du 21e siècle non seulement à survivre, mais à prospérer.

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